Exposition "Derrière Venus" à la galerie Da-End
17 Rue Guénégaud, 75006 Paris
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Commissariat : Amélie Adamo
du 4 novembre au 17 décembre 2016
avec Anaïs Albar, Anya Belyat-Giunta, Laetitia Bourget, Murielle Belin, Marielle Degioanni, Vanessa Fanuele, Cristine Guinamand, Sarah Jérôme, Lidia Kostanek, Julie Laignel, Julie Lorinet, Maël Nozahic, Cendrine Rovini
Dans le miroir de Vénus, depuis la nuit des temps, la mater et l’amante se reflètent en un même visage, de vie et de désirs mêlés. Mais derrière le masque idéal, se cache l’autre face d’une réalité plus trouble. Derrière ce qui est vu, derrière ce que l’on croit connaître, s’accumulent les strates de ce qui est gardé secret, refoulé, non dit, invisible. Visage multiple d’une identité ambivalente qui dérange, faite de frottements, de tensions, entre des sensations et des projections contradictoires, des désirs individuels et des représentations collectives fondatrices de la culture occidentale.
Les œuvres réunies à la Galerie Da-End, au seuil du réel et de l’imaginaire, lèvent le voile sur cette vision ambivalente et nous révèlent des facettes troublantes de l’identité de la femme. L’image de la maternité, source de vie, se chargera parfois de résonances funèbres et l’idéal qu’elle véhicule, sa toute puissance sacrée, s’incarnera parfois dans une fange sale, travaillant contre une réalité corporelle et érotique plus crue. Un érotisme qui, source de jouissance et de libération, deviendra aussi vecteur de soumission, de prédation, de cruauté et d’angoisse dans des représentations sans âge où fusionnent parfois le temps de l’enfance et celui de la maturité.
17 Rue Guénégaud, 75006 Paris
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Commissariat : Amélie Adamo
du 4 novembre au 17 décembre 2016
avec Anaïs Albar, Anya Belyat-Giunta, Laetitia Bourget, Murielle Belin, Marielle Degioanni, Vanessa Fanuele, Cristine Guinamand, Sarah Jérôme, Lidia Kostanek, Julie Laignel, Julie Lorinet, Maël Nozahic, Cendrine Rovini
Dans le miroir de Vénus, depuis la nuit des temps, la mater et l’amante se reflètent en un même visage, de vie et de désirs mêlés. Mais derrière le masque idéal, se cache l’autre face d’une réalité plus trouble. Derrière ce qui est vu, derrière ce que l’on croit connaître, s’accumulent les strates de ce qui est gardé secret, refoulé, non dit, invisible. Visage multiple d’une identité ambivalente qui dérange, faite de frottements, de tensions, entre des sensations et des projections contradictoires, des désirs individuels et des représentations collectives fondatrices de la culture occidentale.
Les œuvres réunies à la Galerie Da-End, au seuil du réel et de l’imaginaire, lèvent le voile sur cette vision ambivalente et nous révèlent des facettes troublantes de l’identité de la femme. L’image de la maternité, source de vie, se chargera parfois de résonances funèbres et l’idéal qu’elle véhicule, sa toute puissance sacrée, s’incarnera parfois dans une fange sale, travaillant contre une réalité corporelle et érotique plus crue. Un érotisme qui, source de jouissance et de libération, deviendra aussi vecteur de soumission, de prédation, de cruauté et d’angoisse dans des représentations sans âge où fusionnent parfois le temps de l’enfance et celui de la maturité.